Transformation

« Maintenant, le plug, il est plus gros, 4cm et plus lourd, 200gr, que tout à l’heure, et oui ton éducation anale continu, et crois-moi, ce n’est pas fini, tu es prête ? »
La Phrase à peine terminée, je sens le plug enduit de gel, pousse, force, détend, dilate ma petite rose, c’est vrai qu’il est plus gros, je le sens car la douleur est plus vive, et longue, je serre les dents, et plop, il est en place, et là je ressent comme un soulagement une délivrance, un bien être.
« A voir ton visage, je vois que tu aimes cela, tu aimes être garnis, et bien rassure toi, je te le répète tu le seras en permanence, je ne veux plus que ta chatte se referme, je la veux en permanence ouverte…
Ensuite elle place sur chacun de mes tétons une pince qui les fait ressortir, avec une douleur lancinante
« Maintenant, je t’habilles, mais tu jettes ton horrible slip de petit mec macho, et tu mets cela »
Elle me tend une superbe culotte de femme en dentelle, ouverte en son milieu, mes couilles entre l’ouverture à la limite de la douleur, je me soulage en les soupesant
« Je te laisse mettre une dernière fois ton pantalon, cela va te soulager, mais cela sera la dernière fois, ensuite tu seras nue au début de ta formation, plus tu progresseras dans ta soumission, plus tu seras salope, je te permettrais de te vêtir progressivement, alors imagine quand tu pourras t’habiller complétement, la salope vicieuse que tu seras devenue… »
Elle me met un soutien-gorge qui maintien les deux pinces, je remets mon tee-shirt qui est moulant avec l’épaisseur supplémentaire du soutien-gorge, je remets mon pantalon et le tissus du slip me fait frémir, Maitresse adèle s’en aperçoit et me sourit, et me dit :
« Tu aimes ce que je te fais subir, tu es à moi maintenant, tu m’appartiens, ton esprit ne pourra plus penser qu’à ta nouvelle vie. Rentre vite chez toi, tu as 3 heures pour avertir tes parents que tu as trouvé un logement pour septembre, et que tu dois partir tout de suite en stage scolaire rémunéré en Angleterre, qui te paiera tes prochains loyers, Dépêche-toi, je t’attends, et ne t’embête pas à prendre tes misérables vêtements de petit mec, tu en auras plus besoin maintenant… »